dimanche 8 avril 2012

La controverse

Dans le cas de l’étalement urbain, il y a une controverse sans pareil entre plusieurs acteurs. Les acteurs qui sont plus particulièrement impliqués et que leur qualité de vie est touchée sont sans aucun doute les résidents eux-mêmes, l’ensemble de la société. En effet, malgré le fait que certains vivent en ville et que d’autres préfèrent la banlieue, les conséquences sont en quelque sorte les mêmes. Ensuite, il y a ceux qui s’opposent à ce phénomène pour des raisons tant au niveau économique, qu’au niveau écologique. Les gouvernements et autres acteurs dans le même type.

Tout d’abord, entrons dans la tête des citoyens, ceux qui préfèrent allez vivre en banlieue pour tout les avantages que cela apportent selon eux. En premier lieu, c’est gens désirent allez vivre en banlieue puisqu’ils veulent fonder une famille et profitez des biens fait d’avoir une résidence plus éloignée de la ville, pour vivre plus paisiblement, ou alors,  ce sont des personnes qui ont une certaines âges et qui veulent retrouver leur liberté et le calme. C’est gens mènent une guerre pour préserver leur valeur et le désir d’avoir une meilleure qualité de vie. Pour eux, la campagne et les banlieues sont beaucoup plus propices à la famille puisqu’il semble avoir moins de dangers pour les enfants et la tranquillité est de prime à bord. Voici les arguments qui sont les plus populaires : Tout d’abord, les gens sont à la recherche d’un ailleurs meilleur. Ils désirent avoir une bonne qualité de vie, et pour eux, cela rime avec grand terrain, belle maison et tout le reste. Les gens veulent faire la belle vie et la campagne est une bonne option dans leur idéologie. Ensuite, il est évident qu’il y a plusieurs personnes qui envisagent de choisir leur prochaine résidence loin de la ville pour une raison de « cohabitage ». Les voisins sont régulièrement déplaisants et la population tente d’enrayer un problème qui s’avère évitable! Dans le même ordre d’idée, la pollution par le bruit est un autre facteur qui déplait à beaucoup de gens. Les camions sur notre rue, la musique des voisins et du reste de la ville sont souvent plus stressant qu’autrement, alors les gens ont trouvé un moyen de le fuir. Ensuite, il ne faut pas oublier qu’environ 80% de la population est de fraiche souche, ils sont, pour la plupart, à la recherche de leur racine. Beaucoup de gens ressentent également des liens familiaux serrés avec la nature ou la campagne, alors il finissent par ne faire qu’un avec leur désir et se payer un peu de luxe! Finalement, beaucoup de gens désirent faire contrepoids avec les aspects négatifs de la ville, tels que vivre dans un appartement, avoir une petite cours très vue auprès de nos voisins et plusieurs autres. Finalement, les arguments qui sont cités ci-dessus sont tous en relation avec la qualité de vie et des valeurs des gens.

Ensuite, mettons-nous dans la peau du gouvernement et de tout autres institutions visant à protéger l’environnement. Leurs raisons sont beaucoup plus économique ou environnementales. Tout d’abord, l’argument qui ressort énormément du lot et qui a trait à l’environnement et le développement durable est le fait que nos terres agricoles sont de plus en plus saccagées et utilisées à des fins personnelles. Au Québec, nous avons de magnifiques terres qui sont également fertiles et qui sont habitées par des résidents.  Mais ce n’est pas tout, les coûts sont extrêmement élevés et ils dépassent les budgets accordés. Cela n’a l’air de rien, mais construire de nouvelles routes, faire passer l’électricité et tout ce qui vient avec, ce n’est pas gratuit. La société n’a pas les moyens de continuer dans cette voie. Ensuite, il y a la pollution. Les résidents défrichent de plus en plus loin sans penser aux conséquences. De plus, les voitures sont maintenant trop utilisées et les distances se font plus grandes. La dernière et non la moindre, les conséquences sur la santé des gens. Ils font souvent moins d’activité physique puisqu’il ne vont plus au travail à pied ou à vélo, car la distance est trop grande. Si on regarde de plus près, on peut remarquer que les eaux sont polluées par les bateaux et ils y a plus de sel sur les routes etc.

Finalement, on peut voir que les arguments pour l’étalement urbain et contre celle-ci sont très divisés et  personne n’aura envie de céder. Les résidents se battent pour leur biens, leurs valeurs, leurs modes de vie ainsi que pour les valeurs qui les habitent. Tandis que les instituts et les gouvernements s’entendent pour dire qu’il y a rien de bons pour l’environnement ainsi que pour leurs poches dans ce dilemme.



Mes sources utilisées :
Claire Binet (SD)  Le contrôle de l’étalement urbain au Québec : 25 ans de valse-hésitation [En ligne] http://vision2025.uqac.ca/amenagement/ClaireBinet.pdf (Page consultée le 1 février 2012)

Le Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (SD) Étalement urbain : Quand allons-nous enfin stopper l’hémorragie? [En ligne] http://rncreq.org/documents/CPTA_280507.pdf (Page consultée le 31 janvier 2012)

Fondation David Suzuki (SD) Solution de planification urbaine [En ligne] http://www.davidsuzuki.org/fr/champs-dintervention/changements-climatiques/enjeux-et-recherche/les-solutions-climatiques/solutions-de-planification-urbaine/ (Page consultée le 31 janvier 2012)

Le bloc notes (2005) L’étalement urbain et ses conséquences sur la santé des banlieusards [En ligne] http://www.leblocnotes.ca/node/189 (Page consultée le 31 janvier 2012)

Radio-Canada (2007) L’étalement urbain menace l’agriculture [En ligne] http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/05/28/004-CPTAQ-CMM-agricoles_n.shtml (Page consultée le 31 janvier 2012)

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