dimanche 15 avril 2012

Article de journaux ( mes 3 colonnes n'apparaissent pas)

Qui dit Consommateurs, dit destructeurs !

Les conséquences de l’étalement urbain, le prix à payer pour notre surconsommation déplorable ?


Depuis une trentaine d’années partout au Québec, les yeux plus grand que la pense, les consommateurs prônent le confort et le matériel plutôt que la santé environnementale.




« On en a beaucoup profité et, fatalement, la bulle éclate un jour. Ici, c’est une bulle sociétale. » Jacques Séguéla Depuis plusieurs années, ou précisément depuis que les gens ne vivent plus dans la misère, mais dans l’abondance, la surconsommation est devenu un phénomène     très répandu.

Les rêve à doubles tranchants
L’apparence que nous reflétons devant le monde est dorénavant aussi important que notre propre opinion de         nous-mêmes. Ce qui amène les gens à désirer obtenir le rêve de tous… C’est-à-dire une belle grande maison sur le bord d’un lac ou dans la forêt, un bateau pour naviguer sur ce même lac et tout le reste qui vient de pair. Nous vivons dans un monde de surconsommation, qui a été assez puissant pour faire perdre la conscience écologique des gens. Avant de penser à défricher le bord du lac, les gens se pause plus la question : Est-ce que ce geste peut nuire au lac, aux poissons, ou à quelconque éléments vivants de cet environnement? Non, les gens ont dans leur pensée qu’ils vont obtenir une belle vue et qu’il
 paraitrons bien.

Vers de nouvelles avenues
Ce nouveau mode de pensé amène donc de plus en plus de consommateurs vers des avenues dévastatrices. Le manque d’espace et les voisins dérangeants prône sur le confort, la liberté et la paix qui règne en banlieue.

 
Tous ce précipitent donc vers les banlieues et les régions tranquilles pour vivre une vie meilleure. Certains se tournent vers cette solutions puisqu’ils sont à la recherche de leurs racines. Les impacts que cela peut bien avoir sur la société ne l’est importe peu puisqu’ils sont à longue échéance.

L’individualisme

 Depuis plusieurs années,  une nouvelle valeur beaucoup plus individualiste à pris une grande envergure. Ce monde de pensé fait en sorte que les gens pensent à leur bien-être avant celui des autres, et même de tous ce qui les entourent. Cela crée une certaine inconscience grandissante des autres et des conséquences de leurs actes chez la population. Le fait d’être devenu de grands consommateurs en plus d’être de plus en plus « égoïste » amène les êtres que nous sommes à ne plus se soucier de rien sauf de notre bonheur. Tout ceci pour en revenir au fait que l’étalement urbain n’est pas venu toquer à nos portes par hasard, et que le problèmes de vient pas d’ailleurs que nous.  Il est temps d’ouvrir les yeux et de comprendre que nous pouvons vivre autrement que dans la surconsommation. Le problème, c’est qu’il est facile de le dire, mais difficile de l’accomplir ou du moins, de se donner la peine d’essayer.
« Créer un espace vert dans une ville ? Tout est possible ! »



« Nous avons crée un grave problème, c’est maintenant à nous de vivre avec les conséquences. »

Les conséquences
Les conséquences de nos actes sont maintenant très saillants dans notre société. Tout ceci à mis en branle une retombée économique qui a elle même joué sur plusieurs autres facettes de la société. Si on parle à long terme, le facteur écologique est beaucoup plus important puisque ses effets vont toujours de mal en pire.

Rien d’impossible
 Il faut dire que c’est encore quelque chose de réversible jusqu’à un certain point. Il serai possible à l’homme de stopper l’étalement urbain et de tenter de mieux aménager les villes. Créer un espace vert dans un ville ? Tout est possible! Mais il faudrait repenser nos manières d’agir et de penser. Le réchauffement climatique est sans aucun doute un phénomène quasi irréversible puisqu’il s’en résulte de biens des causes, mais l’étalement urbain est un acte que nous posons directement dans nos gestes et dans nos actes, alors il n’est rien de changer nos coutumes pour le bien des prochaines générations.

Mais comment ?
Tout d’abord, il y a plusieurs quartiers qui sont près de la ville et à la fois loin de tout ses problèmes tels que la pollution par le bruit, les voisins dérangeants, les cours arrières aussi petites que mal organisée et biens d’autres. Il s’agit de bien chercher au lieu de croire que le « paradis » est en banlieue et sur les terres agricoles qui d’ailleurs, servent à bien d’autre chose que de servir de terrain privé, disons le! Ensuite, les véhicules qui nous servent de moyen de transport sont souvent très avares d’essence! Alors, étant donné que le cœur de la ville de peut pas satisfaire tout le monde, pourquoi ne pas utilisez les transport en commun ou, encore mieux, prendre votre vélo. C’est dans les petits gestes que l’on retrouve les grandes actions. Et c’est dans les grandes actions qu’on peut être fier de se qu’on n’a accompli, ensemble!




dimanche 8 avril 2012

Entrevue avec un spécialiste

Questions/Réponses:

1-     Dans quel région l’étalement urbain se fait-il le plus ressentir au Québec ?
2-     Selon vous, que nous réserve l’avenir en ce qui a trait à l’étalement urbain au Québec?
3-     Depuis quand est-ce que le fléau l’étalement urbain est devenu plus important ?
4-     Est ce qu’il devrait avoir des règles pour diminuer son effet à long terme ?
5-     Quelle est la gravité de ce phénomène selon vous ?
6-     Pourquoi cette forme de développement spatial fait-elle l’objet de critiques nombreuses et apparemment convergentes ?
7-     Est-ce que l’étalement urbain est un phénomène si dangereux pour la faune et la flore ?
8-     Quelles solutions pourrions-nous aborder pour tenter de diminuer ce phénomène?
9-     Est-ce qu’on s’en va vers une catastrophe sociale et environnementale?
10-  Quelles sont les conséquences sur l’eau potable au Québec ?

1-     Les régions qui sont le plus touchées par l’étalement urbain depuis quelques années sont sans aucun doute Montréal dans son agglomération., puisqu’il y a de plus en plus de gens qui s’installent dans ses banlieues. Il a y plus de gens qui vivent à l’extérieur de l’îles, qu’à l’intérieur. Il y a également de Saguenay et la ville de Québec qui voit leur région se peupler.
2-     Si on ce fit au présent et aux dernières années, l’étalement urbain gruge de plus en plus de terres et ne cessent de prendre de l’ampleur. Les choses ne changeront pas de ci tôt si des décisions et des solutions ne sont pas mise en place.
3-     Depuis les trente dernières années ce fléau prend de plus en plus de place dans nos sociétés. Donc depuis les années 80-90 d’une façon approximative.
4-     Ce serait certainement un avantage pour tenter de diminuer l’étalement urbain. Je dis bien diminuer puisqu’il est impossible de la stopper totalement.
5-     Pour le moment, nous sommes seulement rendu aux questionnements et aux craintes face au futur, alors pour le moment ce n’est pas une problématique majeure et un sujet d’actualité dans tous les journaux, mais reste que cela est très important et il faut commencer à y voir pour le futur.
6-     Cette forme de développement subit plusieurs réactions convergentes puisque l’on parle ici de deux grandes voies qui s’opposent. Soit les gens concerné qui sont puissant par leur nombre de voie, et ceux qui s’opposent et qui sont puissant de par leur pouvoir.
7-     Comme je l’ai mentionné, ce n’est pas encore un phénomène très dangereux présentement, mais c’est simplement quelque chose de plus qui vient nuire à notre environnement. C’est un phénomène très progressif et qui s’installe peu à peu.
8-      Un des sujets qui est aux lèvres c’est temps-ci mais qui est toujours sous forme d’hypothèse, c’est d’agir sur la mobilité. Les gens sont habitués à utiliser leur voitures quotidiennement et cela fait en sorte que la distance ne les effraie plus.
9-     Si cela persistent, je crois qu’on finira par dire qu’effectivement, nous allons vers une catastrophe sociale et environnementale.
10-  Les conséquences sur l’eau est très évidente. Les gens qui résident sur les bords d’eau ont souvent des embarcations à moteur qui polluent énormément et qui consomment beaucoup d’essence. Alors cela à un effet direct sur la faune en plus de polluer nos sources d’eau. Cela n’est qu’une infime parties d’un tout.

Mon spécialiste m.a beaucoup éclairé sur le sujet de l'étalement urbain, j'ai eu droit à des réponses que je n'aurai probablement pas trouvé seule. Je tiens à remercier Éric Fréchette, professeur en géographie depuis maintenant 5 ans, qui s'intéresse personnellement à l'étalement urbain.
La controverse

Dans le cas de l’étalement urbain, il y a une controverse sans pareil entre plusieurs acteurs. Les acteurs qui sont plus particulièrement impliqués et que leur qualité de vie est touchée sont sans aucun doute les résidents eux-mêmes, l’ensemble de la société. En effet, malgré le fait que certains vivent en ville et que d’autres préfèrent la banlieue, les conséquences sont en quelque sorte les mêmes. Ensuite, il y a ceux qui s’opposent à ce phénomène pour des raisons tant au niveau économique, qu’au niveau écologique. Les gouvernements et autres acteurs dans le même type.

Tout d’abord, entrons dans la tête des citoyens, ceux qui préfèrent allez vivre en banlieue pour tout les avantages que cela apportent selon eux. En premier lieu, c’est gens désirent allez vivre en banlieue puisqu’ils veulent fonder une famille et profitez des biens fait d’avoir une résidence plus éloignée de la ville, pour vivre plus paisiblement, ou alors,  ce sont des personnes qui ont une certaines âges et qui veulent retrouver leur liberté et le calme. C’est gens mènent une guerre pour préserver leur valeur et le désir d’avoir une meilleure qualité de vie. Pour eux, la campagne et les banlieues sont beaucoup plus propices à la famille puisqu’il semble avoir moins de dangers pour les enfants et la tranquillité est de prime à bord. Voici les arguments qui sont les plus populaires : Tout d’abord, les gens sont à la recherche d’un ailleurs meilleur. Ils désirent avoir une bonne qualité de vie, et pour eux, cela rime avec grand terrain, belle maison et tout le reste. Les gens veulent faire la belle vie et la campagne est une bonne option dans leur idéologie. Ensuite, il est évident qu’il y a plusieurs personnes qui envisagent de choisir leur prochaine résidence loin de la ville pour une raison de « cohabitage ». Les voisins sont régulièrement déplaisants et la population tente d’enrayer un problème qui s’avère évitable! Dans le même ordre d’idée, la pollution par le bruit est un autre facteur qui déplait à beaucoup de gens. Les camions sur notre rue, la musique des voisins et du reste de la ville sont souvent plus stressant qu’autrement, alors les gens ont trouvé un moyen de le fuir. Ensuite, il ne faut pas oublier qu’environ 80% de la population est de fraiche souche, ils sont, pour la plupart, à la recherche de leur racine. Beaucoup de gens ressentent également des liens familiaux serrés avec la nature ou la campagne, alors il finissent par ne faire qu’un avec leur désir et se payer un peu de luxe! Finalement, beaucoup de gens désirent faire contrepoids avec les aspects négatifs de la ville, tels que vivre dans un appartement, avoir une petite cours très vue auprès de nos voisins et plusieurs autres. Finalement, les arguments qui sont cités ci-dessus sont tous en relation avec la qualité de vie et des valeurs des gens.

Ensuite, mettons-nous dans la peau du gouvernement et de tout autres institutions visant à protéger l’environnement. Leurs raisons sont beaucoup plus économique ou environnementales. Tout d’abord, l’argument qui ressort énormément du lot et qui a trait à l’environnement et le développement durable est le fait que nos terres agricoles sont de plus en plus saccagées et utilisées à des fins personnelles. Au Québec, nous avons de magnifiques terres qui sont également fertiles et qui sont habitées par des résidents.  Mais ce n’est pas tout, les coûts sont extrêmement élevés et ils dépassent les budgets accordés. Cela n’a l’air de rien, mais construire de nouvelles routes, faire passer l’électricité et tout ce qui vient avec, ce n’est pas gratuit. La société n’a pas les moyens de continuer dans cette voie. Ensuite, il y a la pollution. Les résidents défrichent de plus en plus loin sans penser aux conséquences. De plus, les voitures sont maintenant trop utilisées et les distances se font plus grandes. La dernière et non la moindre, les conséquences sur la santé des gens. Ils font souvent moins d’activité physique puisqu’il ne vont plus au travail à pied ou à vélo, car la distance est trop grande. Si on regarde de plus près, on peut remarquer que les eaux sont polluées par les bateaux et ils y a plus de sel sur les routes etc.

Finalement, on peut voir que les arguments pour l’étalement urbain et contre celle-ci sont très divisés et  personne n’aura envie de céder. Les résidents se battent pour leur biens, leurs valeurs, leurs modes de vie ainsi que pour les valeurs qui les habitent. Tandis que les instituts et les gouvernements s’entendent pour dire qu’il y a rien de bons pour l’environnement ainsi que pour leurs poches dans ce dilemme.



Mes sources utilisées :
Claire Binet (SD)  Le contrôle de l’étalement urbain au Québec : 25 ans de valse-hésitation [En ligne] http://vision2025.uqac.ca/amenagement/ClaireBinet.pdf (Page consultée le 1 février 2012)

Le Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (SD) Étalement urbain : Quand allons-nous enfin stopper l’hémorragie? [En ligne] http://rncreq.org/documents/CPTA_280507.pdf (Page consultée le 31 janvier 2012)

Fondation David Suzuki (SD) Solution de planification urbaine [En ligne] http://www.davidsuzuki.org/fr/champs-dintervention/changements-climatiques/enjeux-et-recherche/les-solutions-climatiques/solutions-de-planification-urbaine/ (Page consultée le 31 janvier 2012)

Le bloc notes (2005) L’étalement urbain et ses conséquences sur la santé des banlieusards [En ligne] http://www.leblocnotes.ca/node/189 (Page consultée le 31 janvier 2012)

Radio-Canada (2007) L’étalement urbain menace l’agriculture [En ligne] http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/05/28/004-CPTAQ-CMM-agricoles_n.shtml (Page consultée le 31 janvier 2012)
Compte rendu du cours d’enjeux géographiques


Quels sont les éléments que vous désirez améliorer dans ce cours?

Je trouve que de devoir rédigé un blog n’avait pas vraiment de lien direct avec notre apprentissage. C’est de même pour twitter et facebook. Je sais d’ailleurs que personne n’a vraiment été lire les blogs qui ont été crée par les autres étudiants. Alors je crois que nous perdions un peu notre temps.

Quels sont les éléments à maintenir tels quels?

Je trouve que de donner du travail à faire de façon individuel et d’avoir des devoirs à rendre à des date biens précises était très bien. Le fait de seulement faire des rencontres optionnelles et de suivre notre travail est également quelque chose de positif.

Préférez-vous des cours sous forme tutorale comme celui-ci ou trouvez-vous que les cours magistraux traditionnels sont plus enrichissant?

Il est certain que les cours magistraux sont beaucoup plus enrichissants et pertinents, mais aucun élève vous dira qu’il serait préférable d’en faire ainsi. C’était une façon différente de donner un cours, mais je ne peux pas dire que j’ai réellement appris quelque chose que je ne savais pas. Malgré tout, le cours à été enrichissant à sa manière.