mercredi 8 février 2012

Acteurs impliqués

Les acteurs qui sont impliqués sont tout d'abord les citoyens puisqu'ils sont la principale cause de tout cet émoi. Je parle bien des banlieusards ou de ceux qui désirent s’installer dans un milieu rural dans un avenir rapproché. Ils désirent habiter dans une zone tranquille et proche de la nature, et non dans une grande ville polluée par le bruit et d'autres facteurs nuisibles à la qualité de vie. Malgré le fait qu'ils occasionnent de grands problèmes auprès de la société, de l’économie et de plusieurs autres sphères, ils répliquent en évoquant leur droit de liberté. De plus, ils sont les premiers qui peuvent changer le cours de cette situation en se rendant compte des dégâts causés à l’environnement.  C’est ce qui les place au premier rang des acteurs de ce phénomène. Ensuite, l’un des nombreux acteurs sont les maires. Ils nient s’saccager les terres agricoles qui pourraient être profitables à notre société. Ensuite, il y a de nombreux organismes qui s’opposent à l’urbanisation en milieu rural. Comme par exemple, le regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec, qui annonça tout récemment son adhésion à la coalition pour la protection du territoire agricole. Par ce mouvement, cet organisme se joint à plusieurs autres pour mettre fin à l’aménagement du territoire. Dans le même ordre d’idées, il y a plusieurs fondations comme celle de David Suzuki qui encourage les communautés à transformer leur milieu urbain. Ce problème implique également les gouvernements puisqu’ils doivent payer plus cher dans certains petits détails qui nous échappent. Par exemple, celui ci devrait payer pour aménager nos monuments historiques, maisons centenaires, commerces et la ville dans tout son périmètre, mais pendant ce temps, il continu de s’endetter dans l’infrastructure de nouveaux domiciles et dans l’étalement de la ville. Les ingénieurs qui pavent les routes et qui construisent des maisons sont également des acteurs principaux puisqu’ils sont de plus en plus en demande.  Leur travail s’étale sur une plus longue période de temps puisque les chemins et les maisons en milieu rural se multiplient.  Ensuite, il y a les employés des villes en particulier qui doivent déneiger les routes et les déglacer sur une plus longue distance etc.  Ensuite, il y a les producteurs agricoles qui sont outrés par ce nouveau fléau. Les terres qui sont parfois les plus fertiles se voient bondées d’habitations et au bout du compte, les villes, ou même à la grandeur du Québec, les ressources en nourritures et autres récoltes se  diminuent considérablement. Et si on pousse encore un peu plus loin, on peut penser aux soins de santé et services sociaux qui risquent de voir augmenter leurs chiffres puisque les gens font de moins en moins d’exercices et se déplacent en automobile étant donné le nombres de kilomètres qui les séparent du centre ville.

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